Équipe

Emma Blanc, Paysagiste ; Lucien Loire, architecte ; Thibaud Marguerat, architecte ; Gilles Garreau, paysagiste ; Chiara Perozzi, architecte-urbaniste ; Antoine Angot, paysagiste ; Emerick Jubert, architecte-urbaniste ; Juliette Blanc, Designer ; Sandra De Massé, Responsable administrative et appels d’offres

Ont collaboré :

Abitbol Julien ; Aimon Guillaume ; Bazin César ; Bordeuil Mathieu ; Cadoux Manon ; Carless Valentin ; Chartier Céline ; Che Chi, Paysagiste ; Darmon Elena ; Deschamps Damien ; Douchet Alan ; Dupuis Sylvain ; Goutaudier Estelle ; Gribé Ivanne ; Laferriere Renaud ; Lalire Victorine ; Lebrun Mathilde ; Leinartz Laetitia ; Loquesol Mathilde ; Maison Flora ; M'ba Solène ; Mercier Caroline ; Moguet Lou ; Moustard Rémi ; Okazaki Momo ; Pinsard Noel ; Poulet Charlotte ; Rousseau Adrien ; Samit Olivia ; Savoye Leonie ; Sifflet Sonia ; Simon Daphnée ; Stoesz Angelina ; Volpelier Audrey ; Weibel Morgane ; Laure Verdier ; Anna Pinelli

Adresses

Paris
5 cité Durmar
75011
01 48 07 17 55
emmablancpaysagiste@gmail.com

Toulouse
20-22 rue du faubourg Bonnefoy
31500
05 61 59 98 45
laure.emmablanc@gmail.com

Presse

  • Magazine Date Page Projets
  • Le Moniteur Décembre 2019 P. 66-67 Bukolia

    Logement
    La ville à la campagne par Julie Guérineau

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  • Séquence bois été 2019 p. 9 Place du Pantheon

    Les MonumentalEs : réinventer les places parisiennes, avec du bois, du réemploi et une démarche d'insertion sociale

    « Sujet largement abordé dans notre numéro de mars, le bois dans l'espace public incarne des enjeux de soutenabilité et entame un dialogue avec la ville minérale. Dans le cadre de "Réinventons nos places", les aménagements en bois et pierre osent venir se confronter aux grands monuments parisiens, dans une démarche quadruplement vertueuse: piétonnisation, réemploi, insertion sociale et inclusivité. »

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  • Traits urbains n°104 Juin 2019 p. 78-80 Maïmat

    Muret - Quartier Maïmat - la ville vécue
    par Béatrice Girard

    Muret, du quartier Maïmat à la "forêt urbaine"
    «En plein cœur de Muret (Haute-Garonne), le quartier Maïmat, ilot urbain de 2 hectares, connait une seconde vie après une vaste opération de démolition-déconstruction. Le minéral a laissé place au végétal, les barres ont été remplacées par de petites résidences qui évoquent des villas suspendues. Une "forêt urbaine" point sur une dalle désaffectée».

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  • Défis Urbains Juin 2019   Maïmat Place du Pantheon

    Organisés par Innovapresse, les Défis Urbains récompensent chaque année les meilleures stratégies/opérations urbaines au sens de leur impact sur le développement et le renouvellement de la ville et des territoires.

    Deux projets ont été récompensés :
    La Place du Panthéon à PARIS 5e dans la catégorie Espace public et le Square Maïmat à MURET (31) dans la catégorie Renouvellement urbain / rénovation de quartier politique de la ville.

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  • Construction Moderne Mai-Juin 2019 p. 10-13 Maïmat

    Muret : 44 logements square MaÏmat nord
    par Clotilde Foussard

    « Les deux immeubles du square Maïmat 2 abritent 44 logements sociaux.
    Noyés au milieu de la verdure, ils présentent une alternative intéressante au pavillonnaire ».

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  • Espace public & Paysage Mai 2019 p.37-39 Maïmat

    Square Maïmat : capitaliser le “déjà-là”

    « À Muret, au sud de Toulouse, un projet de longue haleine vient de s’achever avec la livraison de la deuxième phase de travaux. Le quartier d’habitat social du Square Maïmat a ainsi profité d’un renouvellement urbain global ingénieux, tirant au maximum parti de l’existant, mais aussi du phasage du chantier, pour un espace de vie désormais largement végétalisé. Retour sur cette expérience innovante avec Emma Blanc, paysagiste concepteur de l’équipe de maîtrise d’œuvre ».

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  • AMC Mars 2019 p. 70-71

    Succession de terrasses et jardins en gradins

    La skyline qui surplombe les voies ferrées de la gare de Paris-Saint-Lazare dévoile son nouveau profil.
    A l'extrémité Est de la ZAC de Clichy-Batignolles, un bloc minéral sombre, posé sur un socle de béton clair, présente une tectonique tourmentée.

    A l'aplomb du faisceau ferroviaire, une coursive d'accès découpe le bloc minéral dans sa longueur; plus haut, débordant l'attique accidenté, des terrasses viennent s'abaisser en des jardins couverts d'une végétation dense et généreuse: les 89 logements étudiants et 63 studios pour jeunes travailleurs sont reliés par un paysage de collines et de jardins suspendus aux logements sociaux qui s'ouvrent au nord, sur la rue Mstislav-Rostropovitch.

    Posés sur la dalle qui recouvre les voies ferrées et en partie encastrés sur les deux niveaux de surfaces commerciales en soubassement, ces logements développent leurs sept niveaux principaux autour de deux patios plantés. C'est ainsi tout un ensemble de jardins suspendus, qui prolongent en hauteur le parc Martin-Luther-King voisin, selon plusieurs formes: le sol planté et les jardinières des patios, espaces de lumière nichés au creux des façades des studios; les terrasses plus privatives à l'avant des logements; et en toiture, les jardins en gradins qui tels des rizières plantées d'arbres à haute tige et d'arbustes dominant une strate herbacée, s'élèvent au-delà du faîtage du bâtiment. Ce couronnement végétal, en surplomb des voies, établit un parcours, en liaison avec la terrasse de bois de la cafétéria des étudiants.

  • Lever de Rideau, A theatre in Cachan Janvier 2019 p. 138-145 Parvis-jardin du théatre Jacques Carat
  • Echanges urbains Novembre 2018  

    Echanges urbain 2018
    Sixièmes rencontres interrégionales de l'urbanisme - Pour un urbanisme durable des villes et des villages

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  • BATIRAMA Septembre 2018  

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  • Les 101 mots du Tribunal de Paris à l'usage de tous Août 2018 p. 52 Parvis du tribunal de grande instance

    MÉTA-
    Ce préfixe signifie entre autre : le changement, le fait d’aller au-delà, à côté de, avec...
    Selon le contexte, il exprime : ce qui est haut ou grand.

    Et c’est bien de cela dont il s’agit ici !
    La MÉTA-morphose urbaine, architecturale et paysagère, du nouveau quartier des Batignolles porte l’ambition d’un « MÉTA-programme » dont font partie le Tribunal de Grande Instance et son parvis, emblèmes de la justice et de la démocratie, au service de tous.

    L’espace public ici est symboliquement unique et puissant. Il procède d’un mouvement complémentaire de celui de l’architecture : transitoire et horizontal connectant Paris et sa banlieue et assure la juxtaposition des différentes échelles de représentation et d’usages.

    Ce paysage est franc et sobre comme le TGI - architecture « MÉTA-verticale » – qui le borde et dont il s’inspire.

    Au pied du géant, cette étendue minérale – « MÉTA-horizontale » - en camaïeu de granit est percée de vastes régions végétales qui jouent une composition aléatoire, presque tectonique et irrégulière, lui conférant douceur, profondeur et sérénité.
    Dans les bosquets, une véritable architecture vivante, capable d’atteindre 60m mètres de haut sur 2m de d’envergure, et dont les 20m supérieurs doivent porter une surface souple et finement découpée de plusieurs hectares : le MÉTA-séquoia, est l’édifice végétal puissant et vertigineux qui habite le parvis.

  • Traits Urbains 95S Mars-Avr 2018 p. 24-27 Place du Pantheon
  • Télérama Jan 2018 p. 22 Place du Pantheon

    Des idées bien en places

    Portrait de Jean-Christophe Choblet
    par Carole Lefrançois

    […] Un soir, il nous entraîne vers la place du Panthéon : « Comment lui redonner vie, dans l'ombre écrasante de cet immense tombeau ? » se demande-t-il. Place des Fêtes, la problématique est tout autre : « Comment transformer ce point de confluences ceinturé par des barres d'immeubles sans susciter l'hostilité des habitants de ce quartier populaire ? » Les réunions survoltées s'enchaînent entre mairies d'arrondissement, certains projets jugés trop iconoclastes sont brocardés par les élus. S'affrontent autour d'une table les administrations, les associations locales et les « collectifs de compétences » (architectes, urbanistes, paysagistes...) constitués de nombreux talents « souvent relégués aux arrière-postes par les barons de l'architecture, mais qui ont ici l'occasion de défendre leurs projets ».

  • Le Moniteur Jan 2018 p. 50-51 Place du Pantheon

    La mairie de Paris, qui n'aime rien tant que tout réinventer, lançait en juin 2015 le projet Réinventons nos places !. L'idée n'était pas seulement de réduire la place de l'automobile sur sept carrefours majeurs de la capitale (les places des Fêtes, d'Italie, de la Nation, du Panthéon, de la Madeleine, de la Bastille et Gambetta) et de les rénover mais de « le faire avec les usagers et les habitants », rappelle Jean-Christophe Choblet, chargé d'un pôle expérimentations et aménagement des espaces publics auprès du secrétariat général. Alors que les travaux définitifs seront menés soit en régie, soit par des équipes de maîtrise d'oeuvre classiques, une étape de préfiguration a donc été confiée à des collectifs. À eux d'aller à la rencontre de la population des sept sites pour connaître leurs habitudes, leurs obligations, leurs envies… « Leur mission était de dresser une carte sensible et de créer le vrai cahier des charges de ces lieux », poursuit le scénographe urbain qui, dès le départ, a eu une exigence : les équipes d'architectes, d'urbanistes, de paysagistes devaient aussi compter un spécialiste du genre dans leurs rangs. Avec l'idée que penser l'égalité hommes-femmes dans l'espace public « profite à beaucoup de monde », Jean-Christophe Choblet a introduit cette notion dans les appels d'offres.

    Pause méridienne

    Alors que les collectifs ont remis leur diagnostic fin 2017, il semble que ce sujet a été traité avec des bonheurs divers. Le travail mené autour des monuments de la Madeleine et du Panthéon par l'équipe formée notamment par la paysagiste Emma Blanc, les architectes du Collectif Etc et la plateforme Genre et Ville sort apparemment du lot. L'engagement était, il est vrai, inscrit dans le nom du collectif: les MonumentalEs. A observer et compter passants et passantes à toutes les heures de la journée, l'équipe devait se donner les moyens d'imaginer les installations appropriées.
    « À la Madeleine, nous avons ainsi constaté que les femmes pique-niquent plutôt que de déjeuner au restaurant. Sans doute parce qu'elles ne s'installent pas volontiers seules en terrasse mais aussi parce qu'elles profitent de la pause méridienne pour faire beaucoup d'autres choses », expliquent Chris Blache et Pascale Lapalud, de Genre et Ville. La phase d'expérimentation a permis de tester diverses formes de mobilier… qui sont remarquables de simplicité.
    « Comme satisfaire les exigences de tout le monde dans l'espace public est impossible, il ne faut pas surdéterminer les lieux et proposer, au contraire, des formes abstraites », explique Emma Blanc. Ensuite, à chacun et chacune de savoir s'il fera de l'installation proposée sa banquette, sa table ou son terrain d'aventures.

  • Le Moniteur Mars 2015 p. 18

    Elle voit la ville en vert

    La voix est douce, teintée d'inflexions du Sud-Ouest, mais le propos est piquant. Emma Blanc, est « née sous le signe du chiendent ascendant ortie. Je m'accroche pour défendre mon métier auprès de mes partenaires. Nous ne sommes pas là que pour le végétal. A l'égal des architectes, nous travaillons sur l'espace. Nous sommes des généralistes avec des compétences techniques. » Aguerrie à l'Agence Ter, puis chez HYL et Jean Nouvel, elle est en libéral depuis 2007. Lauréate des Nouveaux albums des jeunes architectes et paysagistes (Najap) la même année, elle se dit « atypique ».
    Son credo ? « La simplicité des projets. Leur épure. Ne pas surajouter, aller à l'essentiel et travailler avec le "déjà là" pour trouver le bon usage de l'espace public ». Son royaume est la ville : « Je me greffe sur les projets et j'aime l'idée que la nature colonise la ville ». Et parce que son métier relève aussi d'un art du temps, elle a à cœur de «porter les choses jusqu'au bout ». « Emma est mon nom de scène », s'amuse celle qui est Emmanuelle pour l'état civil. Une apocope qui lui sied : élaguer pour aller – là aussi – vers plus de simplicité.

  • EXE numéro 16 Juillet 2014 p. 34-51 Maïmat

    Square Maïmat - Sens compact
    par Nadège Mevel

    «Entre mer méditerranée et océan atlantique, dans la plaine toulousaine de la Garonne, il fait bon vivre à Muret.
    Sauf pour les habitants du square Maïmat, "grand ensemble" construit dans les années 1960 et souffrant de tous les maux inhérents à ce type de quartier, introverti et dégradé. Aujourd'hui transformé, ouvert et généreux, c'est une véritable renaissance qui a eu lieu, signée Puig&Pujol associés, elle est tout aussi rigoureuse que parfaitement aimable».

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  • Le Moniteur Mai 2014 p. 26-28 Maïmat

    Rénovation urbaine : L'espace public s'inspire des techniques forestières
    par Cyrille Véran

    «Quartier d'habitat social sans âme au nord de Muret (Haute-Garonne) le square Maïmat reprend vie. Avec peu de moyens, la paysagiste Emma Blanc recompose une trame d'espaces publics qui l'ouvre à son environnement».

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  • BATIBUZZ - CERCAD Avril 2014   Maïmat

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  • AMC Décembre 2013 p. 229 Maïmat

    «En réponse à la déconstruction de barres, ce projet de six plots de logements réinterprète l'histoire locale sans l'effacer. La mise en oeuvre soignée du béton ennoblit son image et gomme les connotations négatives héritées de l'existant. Le parti architectural des plots de R+5 à R+8 affirme un réel changement d'échelle. Chacun abrite une quinzaine de logements. La construction respecte le budget du logement collectif social (1194 €/m²), grâce à des principes de compacité, et de simplification des systèmes constructifs et porteurs. Basiques, sans porte-à-faux, les cubes dans lesquels la structure béton plombe, sont réalisés en duomur béton préfabriqué avec isolation intégrée. L'implantation des logements aux 4 angles du plot offre une double orientation et une ventilation naturelle. Élément de confort supplémentaire, chaque appartement dispose d'une loggia en bois de 9 m2. Les rez-de-chaussée des plots sont également habillés de madriers de mélèze, ce dispositif s'étire et se prolonge en une palissade protégeant la cour d'entrée de l'immeuble».

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  • Prix architecture Midi-Pyrénées Novembre 2013 p.14-15 Maïmat

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  • AMC Mars 2013 p.46-49 Maïmat

    148 logements à Muret
    par Catherine Séron-Pierre

    «Réponse opportune à la déconstruction des barres, ce projet de six plots de logements réinterprète l'histoire locale sans l'effacer. La mise en oeuvre soignée du béton ennoblit son image et gomme les connotations négatives héritées de l'existant».

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  • AMC Juin-Juil 2008 p. 46
  • Culture communication Mai 2008 p. 3
  • Le Moniteur Mai 2008 p. 59 Bibliothèque Universitaire Paris-Descartes
  • Le Moniteur Mars 2007 p. 83
  • Arca Nov 2006 p. 89
  • Arca Sept-Oct 2006 p. 98
  • D’A Août-Sept 2006 p. 92
  • Repères OPAC Juin 2006 p. 6-7

Expositions

  • NAJAP Cité de l’Architecture et du Patrimoine 7 octobre 2008 au 25 janvier 2009. Bibliothèque Universitaire Paris-Descartes
    Exposition des NAJAP 2008 à la cité de l'architecture. Photo : Gaston Bergeret
  • Concours pour la construction de locaux pour la direction de la propreté et de l’eau à Paris. Exposition du 14 novembre au 7 décembre 2008 au Pavillon de l'Arsenal, Paris. En association avec Projectiles, nous avions répondu au concours pour la construction en coeur d’îlot de locaux pour la D.P.E.

Crédits

Emma Blanc, SARL au capital social de 5 000 €

Emmanuelle Blanc
5 cité Durmar 75011 Paris
emmablancpaysagiste@gmail.com
T : 01.48.07.17.55

Hébergeur
OVH
2 rue Kellermann
59100 Roubaix – France
www.ovh.com

Images ©Emma Blanc Paysage, sauf mention contraire

Conception graphique et réalisation
WA75