L'équipe a été invitée par SETP pour découvrir la carrière de calcaire dit « Comblanchien », utilisé dans de nombreux projets d'espaces publics. Cette pierre est reconnue pour sa grande durabilité.
Le public du 80ème anniversaire du débarquement pourra bientôt découvrir le jardin du musée face à la mer !
L'équipe a réalisé une visite à Moulins, préfecture de l'Allier. Un moment pour comprendre les atouts paysagers et patrimoniaux de l'ancienne capitale du Bourbonnais où la rivière joue un rôle essentiel dans l'identité du territoire.
Au printemps, l'équipe a fait un voyage au Pays-Bas !
L'occasion de découvrir ensemble des projets dans une métropole européenne qui vit depuis toujours avec la présence de l'eau, ses contraintes comme ses bénéfices.
Un nouveau projet de réhabilitation à Paris pour la Croix Rouge Française.
Avec VPA, Studio Belem et AXIM
Février 2023
L'ancien parking laisse place à un parvis en béton couleur sable
Plus d'images du chantier.
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LILA 2020
Le projet du Square Maimat récompensé par une mention spéciale du
landezine-award.com
dans la catégorie projets résidentiels.
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Une nouvelle rubrique à découvrir
Janvier 2020
Nous sommes lauréats du concours pour la construction du groupe scolaire la Motte à Lesquin avec Tank architectes
Décembre 2019
Nous sommes lauréats du concours pour l'extension et la restructuration
du musée du débarquement avec l'agence Projectiles.
Décembre 2019
Ouverture de la place au public avant la fin des travaux en 2020
Septembre 2019
L'agence est désignée mandataire pour la création d'une nouvelle ZAC à Quend-Plage-les-Pins avec Tandem +, AEU et Strate ing.
Juillet 2019
L'agence est retenue pour remettre une offre avec BAU (Joan Busquets) pour la création de la ZAC Gare des Mines-Fillettes.
Juillet 2019
Nous sommes lauréats du concours pour la Maison de l'Égypte à la Cité universitaire de Paris avec SAM architecture
Juillet 2019
Nous venons de livrer l'opération Bukolia à Cornebarieu (31)
Plus de détails d'ici peu
Juin 2019
Deux projets récompensés par le prix Défis Urbains, organisés par Innovapresse
Catégorie Espace public : le projet Place du Panthéon /, Paris (75).
Catégorie Renouvellement urbain / rénovation de quartier politique de la ville : le projet du Square Maïmat /, Muret (31).
Mars 2019
Merci à Anne Hidalgo d'être venue planter les 3 premiers arbres de la place.
50 autres sujets viendront les rejoindre d'ici à la fin de l'année !
Découvrez l'ensemble du projet du Square Maïmat à Muret (31).
Octobre 2018
Emma Blanc et Projectiles sont lauréats pour le réaménagement complet du pôle bus Château de Vincennes.
Juillet 2018
Retrouvez nous pour l'inauguration de la place du Panthéon le vendredi 12 octobre 2018 à 12h30.
Emma Blanc, Paysagiste ; Lucien Loire, architecte ; Thibaud Marguerat, architecte ; Gilles Garreau, paysagiste ; Chiara Perozzi, architecte-urbaniste ; Antoine Angot, paysagiste ; Emerick Jubert, architecte-urbaniste ; Juliette Blanc, Designer ; Sandra De Massé, Responsable administrative et appels d’offres
Abitbol Julien ; Aimon Guillaume ; Bazin César ; Bordeuil Mathieu ; Cadoux Manon ; Carless Valentin ; Chartier Céline ; Che Chi, Paysagiste ; Darmon Elena ; Deschamps Damien ; Douchet Alan ; Dupuis Sylvain ; Goutaudier Estelle ; Gribé Ivanne ; Laferriere Renaud ; Lalire Victorine ; Lebrun Mathilde ; Leinartz Laetitia ; Loquesol Mathilde ; Maison Flora ; M'ba Solène ; Mercier Caroline ; Moguet Lou ; Moustard Rémi ; Okazaki Momo ; Pinsard Noel ; Poulet Charlotte ; Rousseau Adrien ; Samit Olivia ; Savoye Leonie ; Sifflet Sonia ; Simon Daphnée ; Stoesz Angelina ; Volpelier Audrey ; Weibel Morgane ; Laure Verdier ; Anna Pinelli
Paris
5 cité Durmar
75011
01 48 07 17 55
emmablancpaysagiste@gmail.com
Toulouse
20-22 rue du faubourg Bonnefoy
31500
05 61 59 98 45
laure.emmablanc@gmail.com
Logement
La ville à la campagne par Julie Guérineau
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Les MonumentalEs : réinventer les places parisiennes, avec du bois, du réemploi et une démarche d'insertion sociale
« Sujet largement abordé dans notre numéro de mars, le bois dans l'espace public incarne des enjeux de soutenabilité et entame un dialogue avec la ville minérale. Dans le cadre de "Réinventons nos places", les aménagements en bois et pierre osent venir se confronter aux grands monuments parisiens, dans une démarche quadruplement vertueuse: piétonnisation, réemploi, insertion sociale et inclusivité. »
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Muret - Quartier Maïmat - la ville vécue
par Béatrice Girard
Muret, du quartier Maïmat à la "forêt urbaine"
«En plein cœur de Muret (Haute-Garonne), le quartier Maïmat, ilot urbain de 2 hectares, connait une seconde vie après une vaste opération de démolition-déconstruction. Le minéral a laissé place au végétal, les barres ont été remplacées par de petites résidences qui évoquent des villas suspendues. Une "forêt urbaine" point sur une dalle désaffectée».
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Organisés par Innovapresse, les Défis Urbains récompensent chaque année les meilleures stratégies/opérations urbaines au sens de leur impact sur le développement et le renouvellement de la ville et des territoires.
Deux projets ont été récompensés :
La Place du Panthéon à PARIS 5e dans la catégorie Espace public et le Square Maïmat à MURET (31) dans la catégorie Renouvellement urbain / rénovation de quartier politique de la ville.
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Muret : 44 logements square MaÏmat nord
par Clotilde Foussard
« Les deux immeubles du square Maïmat 2 abritent 44 logements sociaux.
Noyés au milieu de la verdure, ils présentent une alternative intéressante au pavillonnaire ».
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Square Maïmat : capitaliser le “déjà-là”
« À Muret, au sud de Toulouse, un projet de longue haleine vient de s’achever avec la livraison de la deuxième phase de travaux. Le quartier d’habitat social du Square Maïmat a ainsi profité d’un renouvellement urbain global ingénieux, tirant au maximum parti de l’existant, mais aussi du phasage du chantier, pour un espace de vie désormais largement végétalisé. Retour sur cette expérience innovante avec Emma Blanc, paysagiste concepteur de l’équipe de maîtrise d’œuvre ».
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Succession de terrasses et jardins en gradins
La skyline qui surplombe les voies ferrées de la gare de Paris-Saint-Lazare dévoile son nouveau profil.
A l'extrémité Est de la ZAC de Clichy-Batignolles, un bloc minéral sombre, posé sur un socle de béton clair, présente une tectonique tourmentée.
A l'aplomb du faisceau ferroviaire, une coursive d'accès découpe le bloc minéral dans sa longueur; plus haut, débordant l'attique accidenté, des terrasses viennent s'abaisser en des jardins couverts d'une végétation dense et généreuse: les 89 logements étudiants et 63 studios pour jeunes travailleurs sont reliés par un paysage de collines et de jardins suspendus aux logements sociaux qui s'ouvrent au nord, sur la rue Mstislav-Rostropovitch.
Posés sur la dalle qui recouvre les voies ferrées et en partie encastrés sur les deux niveaux de surfaces commerciales en soubassement, ces logements développent leurs sept niveaux principaux autour de deux patios plantés. C'est ainsi tout un ensemble de jardins suspendus, qui prolongent en hauteur le parc Martin-Luther-King voisin, selon plusieurs formes: le sol planté et les jardinières des patios, espaces de lumière nichés au creux des façades des studios; les terrasses plus privatives à l'avant des logements; et en toiture, les jardins en gradins qui tels des rizières plantées d'arbres à haute tige et d'arbustes dominant une strate herbacée, s'élèvent au-delà du faîtage du bâtiment. Ce couronnement végétal, en surplomb des voies, établit un parcours, en liaison avec la terrasse de bois de la cafétéria des étudiants.
Echanges urbain 2018
Sixièmes rencontres interrégionales de l'urbanisme - Pour un urbanisme durable des villes et des villages
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MÉTA-
Ce préfixe signifie entre autre : le changement, le fait d’aller au-delà, à côté de, avec...
Selon le contexte, il exprime : ce qui est haut ou grand.
Et c’est bien de cela dont il s’agit ici !
La MÉTA-morphose urbaine, architecturale et paysagère, du nouveau quartier des Batignolles porte l’ambition d’un « MÉTA-programme » dont font partie le Tribunal de Grande Instance et son parvis, emblèmes de la justice et de la démocratie, au service de tous.
L’espace public ici est symboliquement unique et puissant. Il procède d’un mouvement complémentaire de celui de l’architecture : transitoire et horizontal connectant Paris et sa banlieue et assure la juxtaposition des différentes échelles de représentation et d’usages.
Ce paysage est franc et sobre comme le TGI - architecture « MÉTA-verticale » – qui le borde et dont il s’inspire.
Au pied du géant, cette étendue minérale – « MÉTA-horizontale » - en camaïeu de granit est percée de vastes régions végétales qui jouent une composition aléatoire, presque tectonique et irrégulière, lui conférant douceur, profondeur et sérénité.
Dans les bosquets, une véritable architecture vivante, capable d’atteindre 60m mètres de haut sur 2m de d’envergure, et dont les 20m supérieurs doivent porter une surface souple et finement découpée de plusieurs hectares : le MÉTA-séquoia, est l’édifice végétal puissant et vertigineux qui habite le parvis.
Portrait de Jean-Christophe Choblet
par Carole Lefrançois
[…] Un soir, il nous entraîne vers la place du Panthéon : « Comment lui redonner vie, dans l'ombre écrasante de cet immense tombeau ? » se demande-t-il. Place des Fêtes, la problématique est tout autre : « Comment transformer ce point de confluences ceinturé par des barres d'immeubles sans susciter l'hostilité des habitants de ce quartier populaire ? » Les réunions survoltées s'enchaînent entre mairies d'arrondissement, certains projets jugés trop iconoclastes sont brocardés par les élus. S'affrontent autour d'une table les administrations, les associations locales et les « collectifs de compétences » (architectes, urbanistes, paysagistes...) constitués de nombreux talents « souvent relégués aux arrière-postes par les barons de l'architecture, mais qui ont ici l'occasion de défendre leurs projets ».
La mairie de Paris, qui n'aime rien tant que tout réinventer, lançait en juin 2015 le projet Réinventons nos places !. L'idée n'était pas seulement de réduire la place de l'automobile sur sept carrefours majeurs de la capitale (les places des Fêtes, d'Italie, de la Nation, du Panthéon, de la Madeleine, de la Bastille et Gambetta) et de les rénover mais de « le faire avec les usagers et les habitants », rappelle Jean-Christophe Choblet, chargé d'un pôle expérimentations et aménagement des espaces publics auprès du secrétariat général. Alors que les travaux définitifs seront menés soit en régie, soit par des équipes de maîtrise d'oeuvre classiques, une étape de préfiguration a donc été confiée à des collectifs. À eux d'aller à la rencontre de la population des sept sites pour connaître leurs habitudes, leurs obligations, leurs envies… « Leur mission était de dresser une carte sensible et de créer le vrai cahier des charges de ces lieux », poursuit le scénographe urbain qui, dès le départ, a eu une exigence : les équipes d'architectes, d'urbanistes, de paysagistes devaient aussi compter un spécialiste du genre dans leurs rangs. Avec l'idée que penser l'égalité hommes-femmes dans l'espace public « profite à beaucoup de monde », Jean-Christophe Choblet a introduit cette notion dans les appels d'offres.
Alors que les collectifs ont remis leur diagnostic fin 2017, il semble que ce sujet a été traité avec des bonheurs divers. Le travail mené autour des monuments de la Madeleine et du Panthéon par l'équipe formée notamment par la paysagiste Emma Blanc, les architectes du Collectif Etc et la plateforme Genre et Ville sort apparemment du lot. L'engagement était, il est vrai, inscrit dans le nom du collectif: les MonumentalEs. A observer et compter passants et passantes à toutes les heures de la journée, l'équipe devait se donner les moyens d'imaginer les installations appropriées.
« À la Madeleine, nous avons ainsi constaté que les femmes pique-niquent plutôt que de déjeuner au restaurant. Sans doute parce qu'elles ne s'installent pas volontiers seules en terrasse mais aussi parce qu'elles profitent de la pause méridienne pour faire beaucoup d'autres choses », expliquent Chris Blache et Pascale Lapalud, de Genre et Ville. La phase d'expérimentation a permis de tester diverses formes de mobilier… qui sont remarquables de simplicité.
« Comme satisfaire les exigences de tout le monde dans l'espace public est impossible, il ne faut pas surdéterminer les lieux et proposer, au contraire, des formes abstraites », explique Emma Blanc. Ensuite, à chacun et chacune de savoir s'il fera de l'installation proposée sa banquette, sa table ou son terrain d'aventures.
La voix est douce, teintée d'inflexions du Sud-Ouest, mais le propos est piquant. Emma Blanc, est « née sous le signe du chiendent ascendant ortie. Je m'accroche pour défendre mon métier auprès de mes partenaires. Nous ne sommes pas là que pour le végétal. A l'égal des architectes, nous travaillons sur l'espace. Nous sommes des généralistes avec des compétences techniques. » Aguerrie à l'Agence Ter, puis chez HYL et Jean Nouvel, elle est en libéral depuis 2007. Lauréate des Nouveaux albums des jeunes architectes et paysagistes (Najap) la même année, elle se dit « atypique ».
Son credo ? « La simplicité des projets. Leur épure. Ne pas surajouter, aller à l'essentiel et travailler avec le "déjà là" pour trouver le bon usage de l'espace public ». Son royaume est la ville : « Je me greffe sur les projets et j'aime l'idée que la nature colonise la ville ». Et parce que son métier relève aussi d'un art du temps, elle a à cœur de «porter les choses jusqu'au bout ». « Emma est mon nom de scène », s'amuse celle qui est Emmanuelle pour l'état civil. Une apocope qui lui sied : élaguer pour aller – là aussi – vers plus de simplicité.
Square Maïmat - Sens compact
par Nadège Mevel
«Entre mer méditerranée et océan atlantique, dans la plaine toulousaine de la Garonne, il fait bon vivre à Muret.
Sauf pour les habitants du square Maïmat, "grand ensemble" construit dans les années 1960 et souffrant de tous les maux inhérents à ce type de quartier, introverti et dégradé. Aujourd'hui transformé, ouvert et généreux, c'est une véritable renaissance qui a eu lieu, signée Puig&Pujol associés, elle est tout aussi rigoureuse que parfaitement aimable».
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Rénovation urbaine : L'espace public s'inspire des techniques forestières
par Cyrille Véran
«Quartier d'habitat social sans âme au nord de Muret (Haute-Garonne) le square Maïmat reprend vie. Avec peu de moyens, la paysagiste Emma Blanc recompose une trame d'espaces publics qui l'ouvre à son environnement».
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«En réponse à la déconstruction de barres, ce projet de six plots de logements réinterprète l'histoire locale sans l'effacer. La mise en oeuvre soignée du béton ennoblit son image et gomme les connotations négatives héritées de l'existant. Le parti architectural des plots de R+5 à R+8 affirme un réel changement d'échelle. Chacun abrite une quinzaine de logements. La construction respecte le budget du logement collectif social (1194 €/m²), grâce à des principes de compacité, et de simplification des systèmes constructifs et porteurs. Basiques, sans porte-à-faux, les cubes dans lesquels la structure béton plombe, sont réalisés en duomur béton préfabriqué avec isolation intégrée. L'implantation des logements aux 4 angles du plot offre une double orientation et une ventilation naturelle. Élément de confort supplémentaire, chaque appartement dispose d'une loggia en bois de 9 m2. Les rez-de-chaussée des plots sont également habillés de madriers de mélèze, ce dispositif s'étire et se prolonge en une palissade protégeant la cour d'entrée de l'immeuble».
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148 logements à Muret
par Catherine Séron-Pierre
«Réponse opportune à la déconstruction des barres, ce projet de six plots de logements réinterprète l'histoire locale sans l'effacer. La mise en oeuvre soignée du béton ennoblit son image et gomme les connotations négatives héritées de l'existant».
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Emma Blanc, SARL au capital social de 5 000 €
Emmanuelle Blanc
5 cité Durmar 75011 Paris
emmablancpaysagiste@gmail.com
T : 01.48.07.17.55
Hébergeur
OVH
2 rue Kellermann
59100 Roubaix – France
www.ovh.com
Images ©Emma Blanc Paysage, sauf mention contraire
Conception graphique et réalisation
WA75